lundi 27 juillet 2015

TAFTA: Voyons clairement ce qui va changer!



Le traité transatlantique TAFTA pourrait avoir des conséquences sanitaires irréversibles sur toute la population européenne.
Il s'agit d'un évènement
- qui va heurter la culture de pays comme la France.
- qui va choquer les valeurs de nos concitoyens.
- qui va chambouler nos traditions séculaires.
- qui va sans doute signer la mise à mort du terroir en Europe.
Tout ce que nous avons entendu sur ce traité jusqu'à présent n'est que la propagande étatique – ou bien c'est une partie seulement de la vérité.
Et la raison est simple : les négociations se font dans le plus grand secret.
Mais certains journalistes-investigateurs sont tout de mème parvenus à découvrir les tenants et les aboutissants de ce traité, du point de vue du consommateur.

Le constat est plus qu'alarmant, ce traité aura des conséquence directe sur notre espérance de vie.

De nombreux citoyens informés s'unissent dans toute l'Europe mais les pétitions de millions de signatures sont restées sans effet devant ces "autres intérêts"  qui font voter les politiciens. Et lorsque les gens prendront conscience du vrai problème :
  • La France comptera de plus en plus d'enfants malformés...
  • On trouvera des traces de "poisons" dans nos analyses sanguines...
  • Les hôpitaux seront remplis de personnes victimes de cancers...
  • Le nombre d'infections, d'allergies et de diabètes décollera...
  • Le diagnostic de maladie de Parkinson aura explosé...

Comme toujours, les informations véritables heurtent les gens non informés. Beaucoup vont être choqués... Beaucoup vont refuser d'y croire...

Il y a toujours une résistance lorsqu'on s'attaque à des vérités inconfortables.

ET POURTANT, LA PREUVE EST FAITE
 

Dès décembre 2015

Le TAFTA va donc provoquer une série de bouleversements en Europe, qui pourraient avoir des conséquences désastreuses notamment sur notre espérance de vie et sur notre pouvoir d'achat.
En effet, d'ici à la fin de l'année, de plus en plus de nos aliments pourraient être "empoisonnés" -- sans qu'on ne puisse rien y faire.
Et cela aura rapidement des conséquences sur notre mode de vie :
  • Ce que nous mangeons et buvons quotidiennement... (les plus riches pourront se préserver en achetant des aliments sains).
  • La manière dont nous faisons nos courses... (le contrôle de la distribution alimentaire par le rachat de gros transporteurs français permettra un total contrôle des prix).
  • La fréquence de nos consultations médicales... dans le cadre du "nouveau plan de santé" qui a été lancé en prévision des conséquences du TAFTA ...
Quel est le danger auquel nous 
devons nous préparer ?

Les conséquences diplomatiques, politiques, économiques, climatiques, sociales... ne seront rien à côté des conséquences alimentaires et sanitaires.

Depuis le 13 janvier 2015, il est permis aux grandes firmes de l'agro-business d'exporter et de commercialiser en Europe 19 OGM destinés à l'alimentation animale et humaine.
Et ce n'est qu'un début.
Beaucoup voient dans ce geste un signal d'appel du président de l'Union européenne à destination de ses homologues américains signataires du TAFTA. 
En substance, Juncker leur a dit : "L'Europe est prête à suivre vos règles".
Ce geste a été précédé de déclarations sans ambiguïté de la part de nos représentants politiques. Manuel Valls, lors du dernier congrès de la FNSEA (Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles) :
"Les biotechnologies sont incontournables".
"Toutes les tentatives d'intimidation seront poursuivies". 
On ne peut pas être plus clair !

Nous allons donc voir les OGM faire leur apparition de manière débridée dans les supermarchés et les marchés.

58 OGM sont déjà commercialisés en France en plus des nouveaux OGM qui vont venir se rajouter à cela. Cela représente une trentaine de produits alimentaires. 

Il n'y a pas de législation imposant aux aliments contenant des OGM un étiquetage spécifique.
Les accords TAFTA vont déboucher sur une ouverture quasi sans concessions du marché des OGM en Europe, y compris en France. Il s'agit d'un basculement majeur qui mettront en danger notre terroir, nos valeurs et notre santé. 


Des lois qui bafouent nos libertés

manifestation
                                                anti-OGM
Les gens sont massivement contre, partout dans le monde.

Le TAFTA est un traité avant tout économique. Les sommes en jeux sont colossales.
Qui plus est, les deux acteurs principaux, les Etats-Unis et l'Europe, sont l'un comme l'autre à bout de souffle et endettés sur plusieurs générations.
D'un côté l'Europe, avec 800 millions de consommateurs – qui représente un marché pesant pour près d'un quart du PIB mondial, et qui dispose encore de biens à vendre (aéroports, routes, eaux, énergie...) et de l'autre, les Etats-Unis, dont les exportations grimperaient de 8% et qui pourraient achever de racheter tous les biens européens, devenant les propriétaires absolus de nos nations et de nos institutions.

Pendant des années, les Etats-membres de l'Union européenne ont résisté. L'opinion publique en Europe a toujours été massivement contre l'idée de manger des OGM.
Mais les lobbies n'ont jamais renoncé... ils font élire plus de politiciens à leur solde, payent plus de commissions, et finissent par emporter le gros lot !

En fait, ils sont même en train de mettre en place un mécanisme de règlement des différends entre les investisseurs et les Etats d'Europe. 
Ce mécanisme – encore en discussion à Bruxelles - leur permettra d'attaquer les Etats qui interviendraient à l'encontre des investissements, bafouant par là-même la souveraineté nationale. 
Il y a déjà plusieurs cas répertoriés, au Canada, en Australie ou encore en Egypte... où les multinationales – comme les marchands de tabac – exigent des milliards aux Etats (et donc aux contribuables) pour entrave au commerce. 
Big Food se frotte les mains... Big pharma attend son tour

Il ne faut pas croire naïvement que notre pays sera épargné au motif d'une quelconque exception culturelle. L'Europe est la cible numéro 1 des grands groupes agro-alimentaires, et en tout premier lieu la Francetout le gouvernement est à leur botte:
"La France est notre premier marché pour la zone EMEA [Europe, Moyen-Orient, Afrique] et est donc incontournable. La longue tradition agricole française, combinée au savoir-faire local, a fait de Monsanto un des premiers producteurs pour le marché européen. [...] Nous avons l'intention de continuer à développer nos activités et à proposer des solutions répondant aux attentes des agriculteurs, en France et en Europe." 
On remarque l'habileté de langage : on ne s'intéresse pas aux consommateurs ici, mais aux agriculteurs, avec qui on pourrait s'entendre plus facilement apparemment.
Ce fabricant d'OGM dans le monde a investi 500 millions d'euros sur les 10 prochaines années pour l'Europe. 
Sa présence a augmenté de 11% en 2014 en France. 
  • Il a investi 75 millions d'euros pour son usine de Trèbes...
  • Il a investi 62 millions d'euros à Peyrehorade.
Il est déjà infiltré en France et ne compte pas s'arrêter en si bon chemin. Pour lui, le TAFTA représente un marché valant des milliards d'euros... C'est comme prendre possession d'un territoire totalement vierge.
... au détriment de notre santé !

Tout commence aux Etats-Unis avec la commercialisation des OGM à la fin des années 1980. 
Du jour au lendemain, des millions d'agriculteurs américains se sont retrouvés avec des solutions pour produire moins cher, plus de produits.
C'était la solution miracle à tous les problèmes !
Plus de mauvaises années, plus de rongeurs, plus d'insectes, plus de risque d'intempéries...
Les cultures résistaient à tout !
Dans le même temps, les consommateurs américains se sont retrouvés avec des organismes génétiquement modifiés dans leurs assiettes – notamment dans :
  • Les soupes en boite ;
  • Les produits surgelés ;
  • Le lait de soja ou lait pour nourrisson ;
  • Les jus de fruits ;
  • Les céréales pour petit-déjeuner ;
  • Les huiles végétales
  • Le tofu ;
  • La viande (indirectement – nourrie aux OGM) ;
  • Les sodas...
On peut dire qu'on les retrouve un peu partout dans l'alimentation des Américains – et que pour ne pas manger des OGM, il faut être extrêmement vigilant.
Comme par hasard, ce que montrent d'autres études, indépendantes, c'est que la santé des Américains a commencé à décroitre à partir de ce moment-là: record mondial du taux de cancer: 50% de la population. Ils détenaient déjà le record mondial d'autisme chez les jeunes enfants en raison des vaccins, et depuis les années 1990, s'ajoutent des records en maladies chroniques, allergies et cancers chez les enfants... records auxquels on peut ajouter aussi les adultes avec les maladies de Parkinson et Alzheimer...
la santé des
                                                américains

Ces graphiques montrent ce qui attend nos enfants dans les années à venir (sauf les très riches qui pourront s'offrir les produits protégés).

Ce que dit la science

Les 19 OGM que nous allons vraisemblablement retrouver dans nos assiettes d'ici peu :
Le maïs : MON 87460, T 25 et NK 603
Les sojas : MON 87705, MON 87708, MON 87769, et autres.
Le colza : MON 88302 et GT 73
Le soja répondant au doux nom de MON 87769 entre dans la composition de toute une variété de produits alimentaires :
"... des aliments cuisinés, des céréales et des graines pour petit-déjeuner, des fromages, (...) des pâtes et des sauces, des viandes, des jus de fruits transformés, des snacks, des bonbons (...) mais aussi l'aquaculture".
Quant au maïs NK 603, il a fait l'objet d'une étude très controversée, réalisée pendant deux ans par le Directeur de recherche à l'Université de Caen, le professeur Séralini (suite à de nombreuses autres en Angleterre, Russie, Inde...)
En nourrissant des rats avec du maïs modifié NK 603 traité avec le désherbant phare de la firme OGM (vendu avec les semences), voici ce qu'on observe (dans tous les tests) :
tumeurs
                                                cancéreuses

Les rats soumis à ce régime alimentaire (celui qui pourrait nous attendre) développent des tumeurs dans des fréquences plus hautes que les rats témoins.


Des effets des pesticides sur la santé...

Fin mars 2015, le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) révélait les résultats d'une étude qui a fait l'effet d'une bombe :
Le glyphosate, principal ingrédient du désherbant Roundup de Monsanto, serait "cancérigène probable" selon la classification de l'OMS.
Et ce n'est vraiment pas de chance qu'on ne le découvre que maintenant parce qu'en France, ce pesticide est le plus utilisé :
"Il est utilisé dans plus de 750 produits pour l'agriculture, la foresterie, les usages urbains et domestiques..." selon le journal Le Monde. 
Il est même responsable du déclassement de la qualité de l'eau. 

Ce pesticide est donc dangereux pour les agriculteurs... les jardiniers amateurs... mais aussi pour les consommateurs qui en ingèrent des résidus.
Il ne faut pas chercher plus loin le scandale sanitaire... Il est peut-être difficile, voire impossible, de prouver que les OGM sont mauvais pour la santé.
Il est en revanche désormais prouvé que les pesticides le sont.
Et si le TAFTA ouvre la voie aux OGM, il ouvrira dans le même temps la voie à ce genre de poisons cancérigènes –vendus de pair avec les semences.
En 2013, l'agence américaine Associated Press a réalisé un reportage sur l'utilisation de ces pesticides en Argentine. 
Ils ont découvert dans une région rurale du nord du pays les conséquences de l'utilisation des pesticides.
  • Les malformations chez les enfants ont quadruplé en 10 ans.
  • 80% des enfants auraient des résidus de pesticides dans le corps.
  • 30% de la population serait atteinte de cancers.
Les photos des enfants avec des malformations ou encore le corps couvert de taches noires sont insoutenables. Mais il faut savoir qu'elles existent, et que les pesticides sont un poison pour les humains autant que pour la faune et la flore.
Faites-vous partie de ceux
qui restent les bras croisés ?
Jetez un coup d'oeil sur ces images : 
utilisation des
                                                pesticides aux
                                                Etats-Unis
C'est la vitesse de propagation de l'utilisation de plantations résistantes au glyphosate aux Etats-Unis. En 12 ans, près de la moitié des Etats s'y sont mis !

C'est exactement ce qu'il va se passer en Europe.

Notre pays déjà est le premier consommateur de pesticides en Europe avec 78 000 tonnes de produits répandus dans les champs. 

Ces pesticides sont toxiques pour l'environnement : sol, eau et air. Ils sont particulièrement dangereux pour nos paysans.
"Depuis les années 1980, les enquêtes épidémiologiques ont évoqué l'implication des pesticides dans plusieurs pathologies chez des personnes exposées professionnellement à ces substances, en particulier des pathologies cancéreuses, des maladies neurologiques et des troubles de la reproduction. Ces enquêtes ont également attiré l'attention sur les effets éventuels d'une exposition même à faible intensité lors de périodes sensibles du développement (in utero et pendant l'enfance)" -- INSERM 

Les études montrent qu'ils ont également des effets sur l'homme :
•       des effets sur le système nerveux,
•       des effets cancérigènes,
•       des effets sur le système hormonal,
•       irritations de la peau, des yeux et des poumons.
utilisation des
                                                pesticides aux
                                                Etats-Unis
Une étude a montré que les pesticides seraient jusqu'à 1 056 fois plus toxiques que leurs substances actives sur les cellules humaines. 
Pourtant, les industriels continuent de sous-estimer les dangers et de considérer que leurs pesticides sont "sans risques inacceptables pour la santé". 
Est-ce que les cas de cancers et de mort font partie des risques acceptables ?
Depuis quelques années, on voit même des agriculteurs attaqués par les Etats pour avoir refusé de traiter leurs récoltes avec des pesticides ! 


La solution de ceux qui tiennent...
... à la vie
Ne tombez pas dans le piège !

Face à l'invasion des aliments modifiés, les Européens vont très probablement se jeter dans un premier temps sur les produits BIO.
Et cela ne manquera pas d'entrainer toute une série de problèmes :

Problème 1 : l'augmentation des tarifs liés à la demande 

En 2014, le prix moyen des fruits BIO s'élevait à 5,54 euros contre 3,34 euros pour les fruits conventionnels. Cela représente 66% de plus. 
Pour les légumes, la différence est de 58%.
Donc à la question : le BIO est-il plus cher ? La réponse est claire : oui.
Si l'on considère qu'un couple peut consommer pour 30 euros de fruits et légumes par semaine, cela fait 120 euros par mois... et 1 440 euros par an.
Avec les mêmes fruits et légumes BIO, la facture s'élève à 192 euros par semaine ou 2304 euros par an.

Problème 2 : le marché du BIO est menacé par le conventionnel 

Le marché du BIO est en pleine explosion... les ventes ont augmenté de 14% par an au cours des neuf dernières années. La tendance devrait continuer dans ce sens. 
Le hic, c'est que les espaces cultivables sont limités.
La proximité entre les parcelles BIO et conventionnelles entraine des problèmes, que soulevait une responsable de l'Union nationale des agrobiologistes belges en 2014 :
"Il y a des cas où la pollution est accidentelle, d'autre où il s'agit de mauvaise volonté" de la part des agriculteurs conventionnels, "voire de pollution intentionnelle quand les limites des parcelles sont dépassées de peur des mauvaises herbes" 
Le problème, c'est le label BIO. Si la production BIO est polluée par les pesticides du voisin, elle est déclassée et perd son label. C'est un risque de plus en plus important.
A tel point que selon la dernière étude de l'EFSA (Autorité européenne de sécurité des aliments) portant sur 4 620 aliments BIO testés :
12,5% des produits labellisés BIO comportaient des traces de pesticides – dont 0,8% au-delà des limites légales.
Il n'y a pas de miracles face à la propagation des pesticides.

Problème 3 : Augmentation des importations.

Ce n'est un secret pour personne et pourtant... c'est tellement absurde.
Notre mode de vie nous pousse à consommer des aliments qui ne sont pas de saison et d'accepter, par exemple, d'importer d'Amérique latine des produits BIO en hiver.
C'est une aberration lorsqu'on considère le bilan carbone que représente le trajet entre les deux continents. Mais c'est une aberration aussi d'un point de vue légal.
En effet, les réglementations diffèrent entres les pays exportateurs, et on a vu parfois des produits BIO arriver -- des concombres, de l'huile d'olive, des pommes ou blé en provenance d'Egypte, d'Espagne ou d'Argentine -- traités aux pesticides ! Et bientôt du BIO américain made in Monsanto !!!


IL NE RESTE QU'UNE SOLUTION

Le Conseil National de Transition de France  

(ou acheter des actions Monsanto !)


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